L’Assemblée Nationale a hier soir adopté deux amendements importants.
Ainsi, les souffrances psychologiques seront prises en compte au même titre que les souffrances physiques et le médecin est replacé dans son rôle d’appréciation de la souffrance réfractaire.
Et le gouvernement a échoué à revenir sur la notion de pronostic vital à moyen terme, qui empêchait les malades atteints de maladies neurodégénératives d’accéder à l’aide à mourir.