Interrogé par Jean-Jacques BOURDIN le 9 avril, Guillaume PEPY a lui-même reconnu la médiocre qualité de service de la ligne du train de nuit Paris-Briançon qu’il dit suivre de près et ses retards fréquents, mais aussi l’étendue des travaux à réaliser sur les voies et de renouvellement des voitures couchettes qui arrivent en fin de vie. Soulignant le combat du député Joël Giraud pour la défense de la ligne, il a néanmoins assuré qu’elle constituait un service public d’aménagement du territoire indispensable et qu’elle avait une longue vie devant elle.
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